Cou-coup land
Coup de blues, coup de mou, coup de bambou… Je bois la tasse. Et si je buvais un coup plutôt ? Est-ce que ca me donnerait la force nécessaire pour faire table rase du passé, comme on passe un coup de balai, et pour mettre un bon coup de boule à mes démons en un coup de cuillère à pot ?J’encaisse les coups. De poings, de pieds. Sans pour autant accepter les coups bas de la vie. Moi, qui aurais tant besoin d’un petit coup de pouce, voire d’un vrai coup de main.
Je me tâte… Est-ce que je voudrais être la victime d’un coup d’état ou l’auteur d’un coup d’éclat ? Dans tous les cas, un coup de théâtre – ni plus ni moins (si, si.).
J’écris sous le coup de l’émotion évidemment mais en attendant le coup de cœur, en attendant d’attraper un coup de soleil, un coup d’amour, un coup d’ je t’aime…, je suis lasse des coups d’épée dans l‘eau, des coups durs. Un de plus serait le coup de grâce...
Simple comme un coup de fil, qu’ils disent… Moi, je dis qu’à ce niveau la, ca tient du coup de bol! (pour ne pas dire du coup de poker ou carrément du coup de génie…).
Je ne me sens plus dans le coup... De quoi ai-je besoin pour pousser un grand coup de gueule et annoncer le coup d’envoi ? D’un bon coup de pied au cul, me répondrez-vous sans doute…