Crossroads
"Lorsque tu ne sais pas où tu vas, redagrde d'où tu viens." C’est un proverbe africain.
Et là, je ressens grandement le besoin de regarder en arrière, dans le rétroviseur.
De me plonger dans mon cœur.
Dans ces racines qui se sont envolées à jamais mais qui seront là pour toujours.
Et de m’interroger. Sur mes accomplissements. Et sur mes désirs. Passés et futurs.
C’est la loi de l’expatriation… On sait où on se trouve mais sans savoir où cela nous mène.
«Your contract comes to an end».
OK mais… what’s next? Quel pays? Quelle vie m’attend?
Pour le meilleur, pour le pire ?
La vie reste à vivre, à écrire.
A nouveau, j’ai peur. Bizarrement, il y a tjrs une bonne raison d’avoir peur ! Ca en devient presque flippant.
C’est paradoxal… 2 ans et des bananes que je veux me tirer d’ici et quand l’occasion se présente, je ne demande qu’à rester… Besoin d’un brin de stabilité sans doute, de me poser pour essayer de me (re)trouver.
Tiens, en parlant de banane (je déteeeeeste la banane), ca me fait forcement penser a cet autre proverbe africain que j’affectionne tout particulièrement : «Tout a une fin, sauf la banane qui en a deux.»
Je ne suis pas très branchée THE END depuis qq années… et là, je risque de prendre le mur… dans ma face !
Et là, je ressens grandement le besoin de regarder en arrière, dans le rétroviseur.
De me plonger dans mon cœur.
Dans ces racines qui se sont envolées à jamais mais qui seront là pour toujours.
Et de m’interroger. Sur mes accomplissements. Et sur mes désirs. Passés et futurs.
C’est la loi de l’expatriation… On sait où on se trouve mais sans savoir où cela nous mène.
«Your contract comes to an end».
OK mais… what’s next? Quel pays? Quelle vie m’attend?
Pour le meilleur, pour le pire ?
La vie reste à vivre, à écrire.
A nouveau, j’ai peur. Bizarrement, il y a tjrs une bonne raison d’avoir peur ! Ca en devient presque flippant.
C’est paradoxal… 2 ans et des bananes que je veux me tirer d’ici et quand l’occasion se présente, je ne demande qu’à rester… Besoin d’un brin de stabilité sans doute, de me poser pour essayer de me (re)trouver.
Tiens, en parlant de banane (je déteeeeeste la banane), ca me fait forcement penser a cet autre proverbe africain que j’affectionne tout particulièrement : «Tout a une fin, sauf la banane qui en a deux.»
Je ne suis pas très branchée THE END depuis qq années… et là, je risque de prendre le mur… dans ma face !